Abréviation de « Java 2 Enterprise Edition ». Une extension de la plate-forme standard qui intègre les technologies nécessaires au développement des applications d'entreprise.
Langage dérivé du C++ créé par SUN, mais plus facile à manier. Il agit sur les programmes de la même manière que HTML et le web le font pour les documents. Java permet la création d'applets (petits programmes ou micro-application) attachés aux pages web et les promène de machine en machine au travers d'internet.
Générateur automatique de documentation. Module de la trousse d'outils JDK de Sun, Javadoc verse la documentation produite dans un fichier HTML que l'on peut joindre au programme visé, pour en expliquer les caractéristiques.
Langage d'origine NETSCAPE permettant d'interpréter des scripts dans son navigateur à partir de la version 2.0. Javascript n'a pas du tout une quelconque filiation avec Java, mais la société Netscape a créé l'ambigüité.
Abréviation de « Java Message Service » et qui définit un modèle d'accès à un service de messages dans un contexte d'échange d'informations.
Abréviation de « Join Photographic Experts Group ». Il s’agit d’un format de fichiers qui utilise un algorithme de compression. Les images proposées dans les pages Web sont généralement codées dans des fichiers GIF ou JPEG. Ce système offre un taux de compression impressionnant sans influencer la qualité de l'image. Il permet ainsi de compresser des images contenant jusqu'à 16 millions de couleurs, contrairement au GIF, le JPEG est le format idéal pour les photographies. Il s'appelle aussi JPG.
Abréviation de « Java Server Pages ». Il s’agit de pages HTML contenant du code en langage Java converti en code HTML par le serveur Web au moment de la demande d'affichage de la page par un internaute.
Première version de javascript intégré par microsoft dans la version 3.0 d'internet.
